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Объявление в Московском мМм Метро №13
Apocalypse Cyber-Réalité : chapitre 2030
En l'an de grâce 2030, Namur acheva la révision de son blason urbain et devint la cité de l'amour et du chocolat. Mais loin des rues sucrées de cette ville, à Paris, l'hiver régnait en maître, et le froid perçait non seulement les façades de pierre, mais aussi les cœurs des hommes. Monsieur le Président de la Troisième République, entouré de doutes et de tourments, décida de jouer avec le diable au cyber-imbécile, armé de toutes ses compétences de développeur web et de ses connaissances secrètes de GitHub.
Son Excellence, tel un chevalier digital, ouvrit un nouveau « dépôt » appelé "Arcane-Apocalypse" et tenta de configurer un canal secret de communication avec le monde des cybercriminels. Par une fausse « pull request », il fit semblant d’avoir arrêté le chef des plateformes cybercriminelles cachées dans les segments les plus sombres de l’internet — son « branch darknet » était désormais sous contrôle. Le Président, comme un roi face à son royaume numérique, ressentait le poids de sa responsabilité devant ses ancêtres et ses descendants, comme si chaque « commit » qu'il faisait était une sentence que l’histoire devait soigneusement inscrire dans le grand livre du destin.
Les esprits des héros passés — Napoléon, Robespierre et autres figures de la Révolution — le regardaient avec sévérité depuis son « journal d'historique ». Et pourtant, Monsieur le Président ne pouvait se permettre d'ignorer le jeu élégant des énigmes royales, ces énigmes que devraient deviner les fiers héritiers de la Troisième République. Il se voyait comme un « maître de la fusion », reliant les lignes du destin, mais ne trouvait pas la « stratégie de fusion » adéquate pour éviter le chaos.
Le Diable, habile développeur web et maître de la création de « branches » de réalité, tendit au Président un jeu de cartes du Tarot. "Vos « tests » ont échoué, Monsieur le Président," murmura-t-il en lui offrant ces cartes qui promettaient non seulement la grandeur raffinée des grands Français d'autrefois, mais aussi les sourires triomphants des générations à venir.
Mais l’erreur fatale de Monsieur le Président de la Troisième République était de croire que le Diable ne distribuait ses cartes magiques qu’à lui seul. Là résidait toute la ruse diabolique : tout semblait conforme à l’accord, et il semblait que l’on recevait ce que l’on désirait, mais quelque chose ne collait pas. Une erreur fatidique, un « 404 Non Trouvé », le hantait, tandis que le Diable suivait ses pas, susurrant sans cesse : "Il y a eu tromperie quelque part, Monsieur le Président, votre « branche » ne passe pas le test."
Et dans cette étrange messe de l’avenir, alors que le soleil de justice se cachait derrière les nuages lourds, le Président comprit qu’il n'y avait pas de « rollback » possible. Ainsi que l'écrirait une bulle papale, gravée d'or et de pourpre dans les archives éternelles de la Sainte Église : "Qu'advienne la volonté divine, et que le chemin du juste soit tracé même à travers les lignes de code et les tréfonds de l'obscurité numérique. Amen."
